Léon Hatot

Cet article est une ébauche concernant l’horlogerie.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Léon Hatot
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
Châtillon-sur-SeineVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 70 ans)
Nom de naissance
Léon Léopold HatotVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Bijoutier, horlogerVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Distinction

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Léon Hatot ( à Châtillon-sur-Seine - ) est un horloger et bijoutier français.

Biographie

Hatot étudie de 1895 à 1898 à l'école d'horlogerie de Besançon, puis et l'École des Beaux-Arts de la ville. En 1905, il ouvre un magasin à Besançon et se lance dans la production et la gravure de boîtes de montres en métaux précieux. En 1911, il s'installe à Paris et reprend la "Maison Bredillard", tout en gardant sa manufacture de Besançon. À partir de 1919, il fonde une société pour produire des montres à piles. En 1923, il débute avec Marius Lavet la production des horloges ATO[1]. En 1925, Hatot remporte le Grand Prix de l'Exposition internationale des Arts décoratifs et industriels modernes avec une série d'horloges électriques de style Art déco. Il est fait Chevalier de la Légion d'honneur[2].

Hatot a été l'un des membres fondateurs de la Société française chronométrique.

Léon Hatot S.A. fait maintenant partie de Swatch Group[3].

Références

  1. Viredaz 2004.
  2. Belmont 1982.
  3. « La vie des entreprises : la Maison Hatot cesse son activité, Cheval frères fête ses 150 ans, Augé découpage », dans La France horlogère, février 1999, n° 600, p. 151-152.

Bibliographie

  • Henry-L. Belmont, « Les Horlogers bisontins célèbres. Léon Hatot (1883-1953) », La France horlogère, no 434,‎ , p. 84-87.
  • Michel Viredaz, « Léon Hatot et les horloges électriques ATO », Chronométrophilia, no 56,‎ , p. 66-77.
  • Arlette E. Emch, Léon Hatot, Paris, Assouline, 2005, 79 p. (ISBN 2-84323-470-0).
  • « Léon Hatot ou l'esprit Art Déco sublimé », dans La France horlogère, décembre 2001, n° 628, p. 40-41.

Liens externes

  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • ISNI
    • BnF (données)
    • IdRef
    • LCCN
    • GND
    • WorldCat
  • Site en anglais avec biographie, littérature, résultats d'enchères, etc.
  • icône décorative Portail de l’horlogerie