Gaieté

Page d’aide sur l’homonymie

Pour l’article ayant un titre homophone, voir Guetté.

Page d’aide sur l’homonymie

Cette page d’homonymie répertorie les différents sujets et articles partageant un même nom.

Sur les autres projets Wikimedia :

  • gaieté, sur le Wiktionnaire (thésaurus)
  • gaîté, sur le Wiktionnaire

Couramment, le terme gaieté, gaîté ou gaité (cette dernière forme est propre aux rectifications de 1990) désigne le fait d'être joyeux, gai.

À Paris

À Rennes

Aux îles Marquises

À Bruxelles

  • Le théâtre de la Gaîté.

À Budapest

  • Le théâtre de la Gaieté (en hongrois : Vígszínház, [ˈviːksiːnhaːz]) est un théâtre situé dans le centre de Budapest, dans le quartier d'Újlipótváros dans le 13e arrondissement sur le Nagykörút.

À Manchester

  • Le théâtre de la Gaieté est une salle de spectacle située Peter Street.

Quelques titres d’œuvres


  • Plaque de rue de la rue de la Gaîté, photographiée en 2015.
    Plaque de rue de la rue de la Gaîté, photographiée en 2015.
  • Bouche de la station de métro Gaîté, photographiée en 2013.
    Bouche de la station de métro Gaîté, photographiée en 2013.
  • Façade du théâtre de la Gaîté-Montparnasse, photographiée en 2011.
    Façade du théâtre de la Gaîté-Montparnasse, photographiée en 2011.
  • Façade de du théâtre de la Gaîté-Lyrique où est inscrit l’ancien nom de l’établissement : THÉATRE DE LA GAITÉ (les accents circonflexes manquent sur Î et sur Â).
    Façade de du théâtre de la Gaîté-Lyrique où est inscrit l’ancien nom de l’établissement : THÉATRE DE LA GAITÉ (les accents circonflexes manquent sur Î et sur Â).
  • Théâtre de la Gaîté de Bruxelles : GAITE (les accents manquent sur le Î et sur le É).
    Théâtre de la Gaîté de Bruxelles : GAITE (les accents manquent sur le Î et sur le É).

Orthotypographie

La graphie académique du mot a varié[1] :

Ayant supprimé la graphie « gaîté » en 1935 (année de parution du dernier tome de la 8e édition), l’Académie a rétabli cette variante en 2005, mais de façon maladroite[6]. Jean-Pierre Colignon préconise (en 2006) la seule graphie « gaieté » mais demande de conserver la graphie « gaîté » non seulement pour la rue et les établissements de Paris (des toponymes) mais aussi dans le titre d’œuvre Les Gaîtés de l’escadron (œuvre de Courteline)[7].

Voir aussi

Références

  1. Dictionnaire historique de l'orthographe française, Nina Catach (dir.), coll. « Trésors du français », Paris, Larousse, 1994 (ISBN 2-03-340330-0), p. 506-507 sub verbo « gaieté ».
  2. « Gaieté », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales.
  3. « Gaieté », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales.
  4. « Gaieté », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales.
  5. « Gaîté », dans le Dictionnaire de l'Académie française, sur Centre national de ressources textuelles et lexicales.
  6. Dictionnaire de l’Académie française (9e édition), t. 2 (de Éocène à Mappemonde), Imprimerie nationale/Fayard, 2005 (ISBN 2-213-62143-8) : il existe un renvoi « gaîté » (p. 203) vers « gaieté », renvoi précédé du signe * (« le signe * indique les entrées nouvelles », comme dit en page V du début du tome) ; l’entrée « gaieté » (p. 202) mentionne in fine la variante gaîté ; le signe ♢ (qui « renvoie aux recommandations de 1990 », comme dit en p. V du début du tome) ne figure ni dans l’entrée « gaieté » ni dans l’entrée « gaîté » ; gaité n’apparaît pas dans la liste des recommandations de 1990 figurant in fine (pages vertes).
  7. Jean-Pierre Colignon, Difficultés du français, Librio, 2004, 94 p. (ISBN 2-290-34094-4) , sub verbo « gaieté » p. 40.