Danièle Boni-Claverie

Cet article est une ébauche concernant une femme politique ivoirienne.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Fonction
Ministre
décembre 2010 - avril 2011

Biographie
Naissance	1942
Nom de naissance	Danièle Mare Akissi Ablane Boni
Nationalités	ivoirienne française
Activités	Femme politique, journaliste
Père	Alphonse Boni

modifier - modifier le code - modifier Wikidata

Akissi Danièle Boni-Claverie, née en 1942^[1], est une femme politique de Côte d'Ivoire et présidente fondatrice de l'Union républicaine pour la démocratie (URD).

Précédemment issue des rangs du PDCI, elle a été ministre de la Communication^[2] au sein du gouvernement de Daniel Kablan Duncan. De décembre 2010 à avril 2011, elle occupe la fonction de ministre de la Femme, de la Famille et de l'Enfant dans le gouvernement Aké N'Gbo^[3].

Biographie

Études et carrière professionnelle

Elle est originaire de la ville de Tiassalé, au centre-sud de la Côte d'Ivoire.

Elle commence sa carrière de journaliste à la radio ivoirienne, devient rédactrice en chef dans la presse écrite puis directrice de la Radiodiffusion télévision ivoirienne, avant d'être nommée ministre de l'Information en 1994^[4].

Carrière politique

Porte-parole du Front du refus^[5]

Présidente de l’Union républicaine pour la démocratie (URD)^[6]

Elle est interpellée le jeudi 20 octobre 2016 alors qu'elle s'apprêtait à manifester en compagnie de Mamadou Koulibaly, ancien président de l’Assemblée nationale, Aboudramane Sangaré, Gnangbo Kacou, député indépendant, et Kouadio Siméon, ancien candidat à la présidentielle, pour demander le retrait du projet de nouvelle Constitution^[7].

Vie privée

Elle est la fille d'Alphonse Boni, ministre de la Justice de Côte d'Ivoire, et la tante d'Isabelle Boni-Claverie.

Notes et références

↑ « Femmes politiques ivoiriennes d’influence : Danièle Boni-Claverie, présidente de l’URD – Jeune Afrique », sur JeuneAfrique.com, 2 novembre 2017 (consulté le 17 octobre 2020).
↑ « Bédié a-t-il changé ? », sur jeuneafrique.com, 13 octobre 2009 (consulté le 13 janvier 2017).
↑ « Côte d’Ivoire : Isabelle Boni-Claverie, le déballage pudique », sur jeuneafrique.com, 4 août 2015 (consulté le 13 janvier 2017).
↑ Jean-Luc Martinez, « Danielle est ministre en Côte d'Ivoire », sur ladepeche.fr, 11 juillet 1999 (consulté le 29 mars 2020).
↑ « Côte d’Ivoire/ Meeting du Front du refus à Tiassalé Mme Danièle Boni Claverie : « On dit vous êtes des moutons, allez voter » », sur linfodrome.com, 28 octobre 2016 (consulté le 13 janvier 2016).
↑ « Réforme constitutionnelle : Le parti de Danièle Boni Claverie prend position », sur abidjan.net, 28 juin 2016 (consulté le 13 janvier 2017).
↑ « Côte d’Ivoire : plusieurs dirigeants de l’opposition interpellés avant une manifestation à Abidjan », sur jeuneafrique.com, 20 octobre 2016 (consulté le 13 janvier 2017).

Voir aussi

Liens externes

André Silver Konan, « Boni-Claverie reprend le combat pour la libération des pro-Gbagbo », sur Jeune Afrique, 11 juillet 2012 (consulté le 21 juin 2016)