Brahim Konstantini

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Cet article est une ébauche concernant un sculpteur tunisien.

Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.

Brahim Konstantini
Portrait de Brahim Konstantini en 2016.
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (91 ans)
SfaxVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
tunisienneVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Sculpteur, médailleurVoir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Brahim Konstantini (arabe : ابراهيم القسنطيني soit Ibrahim Al-Qasentini), né le à Sfax, est un sculpteur, médailleur et enseignant tunisien.

Biographie

Brahim Konstantini étudie à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris à la fin des années 1950. Après son retour en Tunisie en 1961, il est chargé de réaliser le buste du président tunisien de l'époque, Habib Bourguiba. C'est le début de la vie professionnelle de l'artiste, créateur de nombreuses sculptures, reliefs, médailles et monuments.

Il fonde et dirige l'Académie Konstantini d'arts et métiers au 26, rue du Métal à l'Ariana[1],[2]. En 1996, Khaled Tlatli réalise un portrait de l'artiste pour la chaîne Tunisie 7[3].

Il expose régulièrement au Festival international des arts plastiques de Mahrès.

Œuvres

  • Œuvres de Brahim Konstantini
  • Monument à Farhat Hached (1963), bronze, Sousse.
    Monument à Farhat Hached (1963), bronze, Sousse.
  • Sculpture-fontaine (1965), béton, 10 m, Tunis, avenue de Paris.
    Sculpture-fontaine (1965), béton, 10 m, Tunis, avenue de Paris.
  • Bas-relief pour l'Institut de la météorologie (1968), bronze, 5 × 7 m, Tunis.
    Bas-relief pour l'Institut de la météorologie (1968), bronze, 5 × 7 m, Tunis.
  • Les Martyrs (1990), bronze, 12 m, Tunis.
    Les Martyrs (1990), bronze, 12 m, Tunis.
  • Les Droits de l'Homme (1997), 14 m, Tunis.
    Les Droits de l'Homme (1997), 14 m, Tunis.
  • XIV Jeux Méditerranéens (2001), polyester, 10 m, Tunis.
    XIV Jeux Méditerranéens (2001), polyester, 10 m, Tunis.
  • Solidarité mondiale (2008) polyester, 10 m, Mahrès.
    Solidarité mondiale (2008) polyester, 10 m, Mahrès.

Distinctions

  • 1991 : troisième classe de la médaille culturelle[4].

Notes et références

(de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Brahim Konstantini » (voir la liste des auteurs).
  1. « AKAM, Académie Konstantini d'arts et métiers », sur ween.tn (consulté le ).
  2. (ar) [vidéo] زيارة الفنان الجزائري بوكرش محمد لصديقه النحات التونسي ابراهيم القسنطيني 2018 sur YouTube, (consulté le ).
  3. (ar) [vidéo] Rencontre (Liqaa) Brahim Konstantini ابراهيم القسنطيني par Khaled Tlatli خالد التلاتلي épisode 1 sur YouTube.
  4. « Médaille culturelle », Journal officiel de la République tunisienne, no 88,‎ , p. 2063 (ISSN 0330-7921, lire en ligne [PDF], consulté le ).

Liens externes

  • Ressource relative aux beaux-artsVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Bénézit
  • (ar) Chamseddine El Ouni, « ابراهيم القسنطيني يقدم أعمالا فنية من البرونز تحاكي التغيرات السياسية التي شهدتها تونس » [« Brahim Konstantini présente des œuvres en bronze qui simulent les changements politiques que la Tunisie a subis »], sur alquds.co.uk,‎ (consulté le ).
  • icône décorative Portail de la Tunisie
  • icône décorative Portail de la sculpture
  • icône décorative Portail de la numismatique