5e régiment de tirailleurs marocains

5e régiment de tirailleurs marocains
Image illustrative de l’article 5e régiment de tirailleurs marocains
Insigne régimentaire du 5e régiment de tirailleurs marocains.

Création
Dissolution
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de terre
Type Régiment de tirailleurs
Rôle Infanterie
Garnison Bourg-en-Bresse 1928-1939
Oujda 1940-1943
Dijon 1955-1965
Ancienne dénomination 65e régiment de tirailleurs marocains
Devise Sans peur et sans pitié
Inscriptions
sur l’emblème
Maroc 1925
Levant 1926-1927
Garigliano 1944
Abruzzes 1944
Montbéliard 1944
Forêt-Noire 1945
Indochine 1947-1954
Guerres Guerre du Rif
Seconde Guerre mondiale
Guerre d'Indochine
Fourragères Aux couleurs du ruban de la croix de guerre avec une olive aux couleurs du ruban croix de guerre 1939-1945
Décorations Croix de guerre 1939-1945
3 palmes
Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieurs
1 palme
Mérite chérifien
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Le 5e régiment de tirailleurs marocains (5e RTM) est un régiment d'infanterie français, de l'armée d'Afrique.

Créé dans l'entre-deux-guerres, il combat pendant la guerre du Rif, la campagne du Levant puis s'illustre au cours de la Seconde Guerre mondiale, au cours de laquelle, rattaché à la 2e division d'infanterie marocaine (2e DIM), il est cité trois fois à l'ordre de l'armée. Il combat ensuite durant la guerre d'Indochine et est cité une nouvelle fois.

Il est au moment de sa dissolution en 1965 le dernier régiment de tirailleurs marocains.

Création et différentes dénominations

  • Il est créé le sous le nom de 5e régiment de marche de tirailleurs marocains (5e RMTM).
  • Devient 65e régiment de tirailleurs marocains (65e RTM) en octobre 1920.
  • Devient le 5e RTM en 1929.
  • Dissous en 1946.
  • Recréé en 1950.
  • Dissous en 1965. Il devient le 27e RI.

Chefs de corps

  • 1925 - 1927: Colonel Goudot
  • 1939 - 1940 : colonel Jacob[1]
  • 1943-1944 : colonel Joppé
  • 1944-1945 : lieutenant-colonel Jean Piatte
  • 1956-1958 : Colonel Jean Charton

Historique des garnisons, combats et batailles

Entre-deux-guerres

Le 5e régiment de marche de tirailleurs marocaine est créé à Fès[2] le , par groupement des 13e, 14e et 15e bataillons de tirailleurs marocains. En octobre, les bataillons perdent leur autonomie et le 5e RMTM devient le 65e régiment de tirailleurs marocains. En garnison au Maroc, le 65e RTM est organisé sur le type TOE (théâtre d'opérations extérieurs), avec des bataillons à quatre compagnies de fusiliers-voltigeurs et une section de mitrailleurs[3] .

En janvier 1923, il part pour l'Armée du Rhin en occupation en Allemagne mais il revient en juillet 1925 au Maroc à cause des succès de la république du Rif face aux Français. Après la fin de la guerre, le 65e RTM embarque pour le Levant en [3].

Plaque de la rue du 5e R.T.M. à Belley, ville de garnison du 3e bataillon de 1928 à 1934.

Après un retour au Maroc d' à , il va en garnison en métropole[3]. En 1928, il est affecté à la 1re brigade de la nouvelle 1re division d'infanterie nord-africaine (1re DINA), placée en réserve derrière les Alpes. Son état-major et ses deux premiers bataillons sont à Bourg-en-Bresse, son 3e bataillon à Belley. Le 65e RTM devient 5e RTM en janvier 1929[4].

Le 5e RTM crée une section d'éclaireurs-skieurs par bataillon, stationnées l'hiver dans les Alpes, à la Redoute Ruinée ou à Samoëns selon les années[4].

En octobre 1933, le régiment rejoint un 4e bataillon, ex-II/3e RTM venu du Maroc. Ce bataillon part en garnison à Bourg-Saint-Maurice. En mai 1934, le III/5e RTM devient le II/6e RTM tandis que le II/6e RTM devient le III/5e RTM, caserné à Valence. Le régiment perd son 4e bataillon qui rejoint en juin 1935 le 3e RTM à Saint-Dié-des-Vosges[4].

Seconde Guerre mondiale

À la mobilisation, la 1re DINA part dans les Alpes et le 5e RTM prend position dans la vallée de Chamonix. La division part ensuite pour le Nord-Est, derrière la Ligne Maginot[4]. Après la percée allemande depuis les Ardennes, la 1re DINA embarque pour Valenciennes mais elle arrive en ordre dispersée. Un bataillon du 5e RTM est piégé au Quesnoy qu'il défend avec des bataillons des 27e RTA et du 28e RTT. Les restes de la 1re DINA se replient vers Dunkerque où ils sont évacués. Les unités de la division n'existent plus de facto[1].

Le dépôt du 5e RTM à Bourg-en-Bresse forme en juin 1940 plusieurs bataillons de renfort, qui sont intégrés au groupement Cartier, qui combat dans la vallée du Rhône[4].

Le 5e RTM est recréé dans l'Armée d'Armistice. Caserné à Oujda et Guercif, il est rattaché à la division de Fès[1].

Le il rejoint la 2e division d'infanterie marocaine, engagée en Italie[2],[5]. Débarquée à Naples en , la 2e DIM est engagée dans les Abruzzes à partir du [3]. Elle livre une partie de ses combats en plein hiver et sur un terrain difficile[5]. Le régiment combat ensuite lors de la campagne de France avec le 1er corps d'armée de la 1re armée française (ex-armée B)[5]. La libération de Montbéliard, le , constitue l'un des faits d'armes de l'histoire du 5[2]. La division poursuit ensuite vers le Rhin, terminant la guerre à l'Arlberg[5]. Le 5e RTM est dissous en 1946[réf. souhaitée].

De 1945 à nos jours

Recréé en 1950[réf. souhaitée], le 5e RTM combat pendant la guerre d'Indochine. Il est caserné à Dijon à partir de 1955. Malgré la fin du protectorat français au Maroc il existe jusqu'en 1965, les tirailleurs ayant contracté un engagement pour plusieurs années y étant mutés au fur et à mesure que leurs camarades terminaient leur contrat. Il est formellement dissout le [2].

Drapeau du régiment

Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[6]:

Décorations

La fourragère aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1914 1918 avec olive aux couleurs du ruban de la croix de guerre 1939 1945

Citations collectives à l'ordre de l'Armée

Texte des citations collectives à l'ordre de l'Armée

Armée du Levant

« Sous le commandement du colonel Goudot, régiment d’élite dont l’arrivée au Levant a produit une grande impression sur les rebelles. Ses bataillons vigoureusement commandés participent à partir du 18 juillet [1926] à de nombreuses opérations dans la Gouta. Les 19 et 20 juillet, ils prennent part à une offensive d’ensemble ayant pour but la dislocation des bandes qui menaçaient Damas. Du 21 juillet au 11 août, ils sont employés dans la même région à toute une série d’opérations dans lesquelles ils déploient la plus grande vigueur, désarmant plusieurs villages hostiles, infligeant aux rebelles des pertes élevées, capturant un important matériel. Du 17 au 28 août, le régiment groupé est employé dans l’Hermon, dont il parcourt le versant est sur toute son étendue, au prix de fatigues considérables, assurant la soumission des populations et la fuite des bandes. »

— Citation à l'ordre de l'Armée du Levant attribuée au 65e régiment de tirailleurs marocains (65e RTM) pour sa conduite durant la Grande révolte syrienne, ordre général n° 713 du 17 septembre 1926.

Seconde guerre mondiales

« A eu une magnifique conduite au cours de la campagne de France en 1940. Reformé depuis et engagé sur le front d'Italie, s'est immédiatement confirmé comme superbe unité de combat. Sous les ordres de son chef, le colonel JOPPÉ, s'est, le , lancé fougueusement a l'attaque du mont Pantano contre lequel s'étaient brisés, au cours d'une bataille de plusieurs jours, les efforts de deux régiments. Dans un élan irrésistible, sous les tirs de mortiers, d'artillerie et de mitrailleuses, a enlevé toutes les résistances, détruisant à la grenade toute la garnison ennemie solidement retranchée dans les lignes de blockhaus à contre-pente et protégée par des champs de mines. L'ennemi ayant été obligé de se replier, s'est lancé à sa poursuite, malgré le froid, la fatigue et les pertes. Le , s'est de nouveau lancé à l'attaque et a enlevé toutes les organisations allemandes qui lui étaient opposées, infligeant de lourdes pertes à l'ennemi et réalisant une progression de six kilomètres. Le , s'est lancé à l'attaque du mont San Croce, puissamment fortifié et très fortement tenu. Arrêté au cours de sa progression par des résistances ennemies et durement contre-attaqué, s'est a nouveau lancé à l'attaque, bousculant l'ennemi, lui capturant de nombreux prisonniers et enlevant tous ses objectifs. »

— 1re citation à l'ordre de l'Armée attribuée au 5e régiment de tirailleurs marocains (5e RTM) lors de la campagne d'Italie en 1944, Ordre général n° 096, 25 mars 1944. Henri Giraud.

« Splendide unité d'attaque, ardente et manœuvrière. Sous les ordres de son chef, le lieutenant-colonel PIATTE, n'a cessé de se distinguer au cours des opérations de rupture du front allemand d'Italie. Le a participé à l'enlèvement de haute lutte des positions allemandes du Cerasola qui avaient résisté aux premiers assauts puis, après avoir brisé de violentes contre-attaques, s'est lancé à l'attaque du Feuci et du Majo, réalisant ainsi la rupture du front allemand. Dès la nuit du 13 au , sans souci du danger, s'est lancé en flèche dans le dispositif de défense ennemie, s'emparant du Costa Garosa, du Calvo et du Castellone, réalisant une avance de 10 kilomètres, capturant de nombreux prisonniers, bousculant les réserves de l'ennemi et consacrant définitivement sa perte. Les 15 et , s'est de nouveau lancé à l'attaque et, brisant les lignes successives de résistance ennemie, s'est emparé des villages de Patricia, Morolo, Sgurgola, en dépit de la résistance acharnée de l'ennemi. »

— 2e citation à l'ordre de l'Armée attribuée au 5e régiment de tirailleurs marocains (5e RTM) après la bataille du Garigliano en Italie en mai 1944, Ordre général n° 130, 22 juillet 1944. général Juin.

« Splendide unité d’attaque, ardente et manœuvrière, qui s’est couverte de gloire sur le sol de la France et d’Allemagne, en remportant les plus brillants succès. Le 15 novembre 1944, lancé fougueusement à l’assaut des positions allemandes par son chef, le colonel Piatte, s’est frayé de haute lutte un passage dans la trouée de Belfort, faisant, au cours d’une prodigieuse avance de 120 kilomètres, de nombreux prisonniers, et délivrant d’importantes localités dont la ville de Montbéliard. Le 20 janvier 1945, sous les ordres du colonel Dewatre, tué à l’ennemi le 8 février, a réalisé en forêt de Nonnenbruck, la rupture complète du front allemand, malgré de violentes tempêtes de neige et en dépit des contre-attaques violentes et répétées de l’ennemi. Puis, poursuivant sans répit son action offensive, a bouté l’Allemand hors du sol d’Alsace, atteignant le Rhin, le 8 février. Sous les ordres du lieutenant-colonel Gazounaud, a donné une fois de plus sa mesure au cours de la campagne d’Allemagne. Engagé dans l’élargissement de la tête de pont du Rhin, a brisé, le 5 avril 1945, les résistances ennemies dans la région de Bretten et poussé hardiment sur l’Enz qu’il franchissait à Durmentz dans la nuit du 6 au 7 avril, après une progression de 23 kilomètres dans la journée. Le 14 avril, chargé de la couverture du flanc nord de la division entre Enz et Nagold, a rompu le système fortifié ennemi en s’emparant de haute lutte de nombreuses casemates, contribuant ainsi à l’encerclement des unités allemandes dans la région est de Pforzheim. Le 23 avril, a forcé la falaise du Jura Souabe à Talheim, désorganisant la défense adverse et permettant le débouché de la cavalerie. Dans un magnifique effort, le 24 avril, a soutenu l’action de celle-ci vers Sigmaringen, progressant de 40 kilomètres dans la journée. En trois semaines, a capturé près de 8 000 prisonniers et pris un important matériel. »

— 3e citation à l'ordre de l'Armée attribuée au 5e régiment de tirailleurs marocains (5e RTM) après les campagnes de France et d'Allemagne de 1944-45[7].

Guerre d'Indochine

« Brillante unité de tirailleurs marocains qui, du 10 novembre 1953 au 28 février 1954 sous les ordres du colonel Bertron, puis sous le commandement du colonel Hubert, a combattu sans interruption, mettant en valeur son opiniâtreté agressive dans le Yen Lac et le Van Coc en novembre, au Banc de Sable et dans le Dai Dinh en décembre 1953. A déployé ma même ardeur et la même efficacité dans le Thai Binh de janvier à mars 1954, puis en avril et mai 1954 où sa fructueuse activité a été utilisée à la protection de l’axe de communications Hanoi, Haiphong. A enfin donné toute sa mesure au cours de l’opération de rétraction de la zone sud, dégageant largement les axes et résistant victorieusement aux tentatives d’interceptions adverses, notamment le 3 juillet à Phu Ly où il a infligé une sanglante défaite à l’adversaire. »

— Citation à l'ordre de l'Armée attribuée au 5e régiment de tirailleurs marocains (5e RTM) en 1953-1954 durant la guerre d'Indochine, décision n° 71 du 31 décembre 1954, publiée au JO le 15 janvier 1955.

 

Insigne

L'insigne du 5e RTM est un croissant blanc portant la devise « sans peur et sans faiblesse » en arabe, chargé d'une étoile chérifienne portant une tête de lion[4].

Ses sections d'éclaireurs-skieurs portaient dans les années 1930 les insignes suivants[4] :

  • à la SES du 3e bataillon, un tirailleur en tenue orientale descendant à skis une pente enneigée,
  • à la SES du 4e bataillon, une étoile à cinq branches à la couleur du Prophète chargée d'une gazelle de l'Atlas en train de sauter à skis.

Devise

« Sans peur et sans pitié »

Personnalités ayant servi au 5e R.T.M

Faits d'armes faisant particulièrement honneur au régiment

Récompenses

En France, Italie et Allemagne durant la seconde guerre mondiale[9] :

Récompensés

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  • CNE Maurice Demange, de nationalité française, officier au 5e régiment de tirailleurs marocains, ayant notamment commandé la 10ème Compagnie en 1944-1945. Il reçoit, entre autres citations à l'ordre de l'armée, l'attribution de la légion d'honneur en 1944, pour la libération de Montbéliard avec sa compagnie.
  • Ben-Kirou (Rahou), de nationalité marocaine, ancien soldat de 1re classe au 5e régiment de tirailleurs marocains, 2 citations et 2 blessures de guerre.
  • Azzam Roudya de nationalité marocaine, sergent-chef d'infanterie, reçoit la médaille militaire en 1999 pour son action en Indochine.
  • El Khamar Ben Ahmed Ben Amar de nationalité marocaine : né au douar Oulad belile, région Karia BA mohamed (province de Fes) 5ème RTM Dijon, sergent chef , campagne d'Indochine jusqu'en 1954, croix de guerre, médaille opérations extérieures, cochinchine, Laos, Cambodge... Médaille militaire, juillet 1963. Croix du combattant.
  • Charles Balland : né à Damas-aux-Bois le 2 avril 1918. En 1943, il rejoint l'Afrique du Nord où il est enrôlé au 5e RTM (caporal-chef puis sergent). En 1944, il participe à la campagne d'Italie dont notamment à la célèbre bataille de Monte Cassino. En juin 1944, il est grièvement blessé et rapatrié en Afrique du Nord, puis en France. Pour ses faits de guerre, il est cité à deux reprises (à l'ordre de la brigade et du corps d'armée), puis plusieurs fois décoré : médaille militaire, médaille de l'internement pour faits de résistance, croix du combattant volontaire de la résistance et Légion d'honneur[10].
  • Capitaine Joseph Cardonne: né à Oran en 1911 s'engage à 18 ans au 152° RI puis est admis en 1935 à Saint-Maixent avec la promotion "Verdun". C'est dans les rangs du 5° RTM qu'il combat en Italie (Garigliano et Rome) puis en France où il débarque en septembre 1944. A la tête de la 3° compagnie il s'est illustré dans tous les combats jusqu'en Alsace. Ainsi il a obtenu de nombreux succès: le 13 septembre au fort de Suppey (Maurienne), à Montbéliard le 18 novembre en libérant les quartiers Est avant de participer à la libération de Sochaux. Le 10 décembre, en Alsace, il libère le village fortifié de Roderen en l'enlevant d'assaut. Le 20 janvier 1945 il est grièvement blessé en se portant à l'attaque d'une casemate dans la forêt de Nonnenbruck. En quatre mois de campagne d'hiver dans les Vosges et en Alsace il se voit décerner la croix de la Légion d'honneur, la croix de guerre, cité à quatre reprises. Il se verra également décerner la Silver star et la médaille des blessés. Le capitaine Cardonne décèdera le 5 janvier 1949 en Indochine des suites d'une embuscade, alors à la tête du 2° BEMO. Commandeur de la Légion d'honneur, 12 fois cité, trois fois blessé il reste un modèle d'officier remarquable entraineur d'hommes, animé du plus grand idéal.

Sources et bibliographie

  • Anthony Clayton, Histoire de l'Armée française en Afrique. 1830-1962, éd. Albin Michel, Paris, 1994
  • Robert Huré, L'Armée d'Afrique : 1830-1962, éd. Charles-Lavauzelle, Paris, 1977
  • Historique du 5me R.T.M., Imprimerie Nationale de Fribourg-en-Brisgau,

Notes et références

  1. a b et c « Les troupes d'Afrique dans la guerre 39-40 », Historama, no HS 10 « Les Africains 1830-1960 »,‎
  2. a b c et d « Le dernier régiment marocain de l'Armée française sera dissous le  », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  3. a b c et d « Les tirailleurs marocains 1914 - 1945 », Historama, no HS 10 « Les Africains 1830-1960 »,‎
  4. a b c d e f et g Jacques Sicard, « Les tirailleurs et spahis nord-africains dans les Alpes et leurs insignes », Militaria Magazine, no 119,‎ , p. 46-51
  5. a b c et d « De la Tunisie à Rome, en Alsace, au Rhin et au Danube 1942-1945 », Historama, no HS 10 « Les Africains 1830-1960 »,‎
  6. Décision n°12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, n°27, 9 novembre 2007
  7. Liste officielle de citations, volume 2, Ministère de la guerre, 1945, p. 1242.
  8. Robert Merle, Ahmed Ben Bella, Edició de Materials, 1965
  9. Historique du 5e RTM 1948, p. 148.
  10. Frédéric Balland, Les deux guerres de Charles Balland 1939-1945, Tome II - 1943-1945 La guerre active, Metz, Frédéric Balland Éditeur, , 400 p. (ISBN 978-2-9572234-1-1), p. 92-97-135-137-140-288-296-298-307

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Tirailleurs Marocains.
5e R.T.M.

v · m
Grandes unités
1914 - 1919
1925 - 1927
  • Division marocaine
  • 1re division marocaine de marche
  • 2e division marocaine de marche
  • 3e division marocaine de marche
  • 4e division marocaine de marche
1939 - 1946
Tirailleurs marocains
  • 1er régiment de tirailleurs marocains
  • 2e RTM
  • 3e RTM
  • 4e RTM
  • 5e RTM
  • 6e RTM
  • 7e RTM
  • 8e RTM
  • 9e RTM
  • 10e RTM
  • 61e RTM
  • 62e RTM
  • 63e RTM
  • 64e RTM
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